Usuario invitado
11 de diciembre de 2021
MALGRE UNE OBLIGATION LEGALE, L’IBIS D’ANGOULEME REFUSE DE RENDRE DE L'ARGENT APPARTENANT A DES ENFANTS SOUFFRANT DE HANDICAP : En mars 2020, dans le cadre d’un événement caritatif devant se dérouler dans plusieurs villes de France, IHCPT, organisation irlandaise à but non lucratif s’occupant d’enfants en situation de handicap physique et/ou mental a effectué une réservation auprès de l’hôtel IBIS d’Angoulême. Cette réservation fut accompagnée d’un versement de 1000 euros. Avec l’arrivée de la crise sanitaire COVID 19, toutes les actions caritatives furent annulées. Les différentes réservations hôtelières liées à cette actualité le furent également. En ce même mois de mars 2020, une ordonnance gouvernementale fut spécialement votée et publiée. Cette ordonnance (ordonnance no 2020-315 du 25 mars 2020) dispose que, concernant les contrats de voyages et séjours du 1er mars 2020 au 15 septembre 2020, les hôtels ont le choix de rembourser intégralement les sommes engagées par leurs clients ou de proposer un bon de valeur égale, valable 18 mois, l’aliéna VII de l’article I de ladite ordonnance précisant qu’au bout de ces 18 mois, si le bon n’a pas été utilisé, le remboursement intégral des sommes devient obligatoire. Tous les hôtels avec lesquels IHCPT devait travailler ont intégralement remboursé les acomptes de réservations versés par l’association, tous les hôtels excepté l’IBIS d’Angoulême. IHCPT a fait parvenir à l’IBIS d’Angoulême plusieurs demandes de remboursement. Elles sont toutes restées sans suite. En mai 2020, l’IBIS d’Angoulême se décida à envoyer un bon valable 18 mois, d'une valeur des 1000 euros d’acompte versés par l’association. En novembre 2021, soit 18 mois plus tard, le bon n’ayant jamais été utilisé, IHCPT a recontacté l’IBIS d’Angoulême, précisément selon les modalités de l’ordonnance gouvernementale no 2020-315 du 25 mars 2020. A ce jour, malgré trois courriels leur rappelant aimablement l’obligation légale de rembourser les 1000 euros versés par l’association caritative, les personnes prétendument en charge de l’IBIS Angoulême restent malhonnêtement silencieuses, ne respectant ni la législation, ni leurs clients, ni les enfants en situation de handicap. _
Traducir